Laissez-vous tenter par le plaisir insolite de la fessée érotique.

Homme raffiné je saurai doser douceur et fermeté, selon vos besoins et désirs, jusqu'à votre plus grande volupté. Imaginez-vous tendrement recourbée sur mes genoux, sens dessus dessous, votre croupe totalement livrée à mes caresses qui se font de plus en plus pressantes, jusqu'à se muer insensiblement en claques. Votre jupe remonte, tempérant la chaleur qui commence à envahir votre derrière en émoi. Puis la culotte descend doucement, lentement, exposant entièrement votre entrejambe. Vous rougissez de cette situation impudique mais tellement troublante. Votre n'avez d'autre choix que l'abandon total alors que d'autres claques retentissent au rythme de votre corps qui ondule..."

En relisant ce texte, une douce chaleur vous envahit. Une fessée, cela pourra être érotique? A la lecture de ce texte il vous semble que oui.

Des fessées vous n'en avez jamais reçu et ne pensiez jamais en recevoir. Mais ce texte est si troublant... L'idée d'accéder au plaisir sans rapport sexuel l'est encore plus. C'est ce que promet l'auteur. Vous vous décidez à lui écrire pour lui confier votre trouble.

Lui écrire? Vous séchez devant le clavier. Et si vous l'appeliez plutôt ? Votre gorge est trop nouée. Vous retournez au clavier, mais l'écran reste blanc. Vous reprenez le téléphone en main, juste pour entendre sa voix, espérant un répondeur. Mais c'est bien lui qui vous répond. Vous bredouillez que vous vouliez juste vérifiez que "Il y ait bien quelqu'un derrière ce texte".

Il vous répond "Je comprends ". Le ton de sa voix est agréable et il sait engager la conversation. Vous finissez par avouer que vous êtes tentée par une séance de fessée. Il dit être à votre entière disposition. À votre surprise, vous convenez d'un rendez-vous.

À mesure que le jour de la rencontre approche, un sentiment troublant, mélange d'appréhension et d'excitation, vous envahit en crescendo. Vous lui écrivez, pour mettre au point les derniers détails, mais surtout pour vous rassurer et calmer ce trouble.

Le fameux jour arrive enfin.

Vous préparez la tenue convenue que vous choisissez soigneusement : jupe cintrée, bas, (porte-) jarretelles, string et culottes enfin. Oui, string ET culottes: vous aviez avoué au fesseur à quel point ce déculottage qu'il avait si bien décrit vous troublait. Il avait ajouté qu'un double déculottage serait encore plus excitant. Vous lui avez obéi à la lettre et acheté spécialement la lingerie assortie.

Vous vous déshabillez complément pour vous retrouvez nue, comme vierge, avant d'enfiler cette tenue spéciale pour cette aventure secrète et singulière.

C'est la toute première fois que vous enfilez culotte sur string. Le trouble augmente à mesure que vous passez bas, porte-jarretelles et surtout la jupe que vous n'aviez pas portée depuis un certain temps et qui maintenant serre votre taille et surtout vos fesses. Ça risque de lui plaire.

Ça vous plaît, ça vous excite même d'être ainsi engoncée et prête à être livrée, prête à vous livrer. Vous complétez agréablement la tenue par des escarpins à talons hauts, un soutien-gorge assorti aux autres sous-vêtements, un chemisier avec juste ce qu'il faut de transparence.

Vous vous rendez ainsi au lieu du rendez-vous, le cœur battant, en vous demandant quelle mouche a ou bien vous piquer de vouloir rencontrer cet inconnu, pour une séance de fessée de surcroit! L'homme s'était montré charmant au téléphone, mais qui allait vraiment se présenter au café?

Au moment de franchir la porte de l'établissement, votre pouls augmente encore. Vous espérez qu'il ne sera pas là, au moins pas tout de suite.

Pourtant un homme est bien là. Il semble attendre seul. Il correspond à la description: grand, châtain, yeux bleus, vêtu de noir, un carnet de notes à anneaux posé sur la table. Il vous sourit.

Vous lui souriez et répondez à son invitation à vous asseoir. Comme au téléphone, il engage la conversation agréablement. Vous en seriez presque à oublier l'objet de votre rencontre, si ce n'étaient ses mains, longues et fines qu'il agite sans cesse (à dessein?). Vous n'arrivez pas à détacher votre regard de ses paumes, surtout en songeant à l'usage qu'il pourrait en faire.

Le dialogue continue, l'homme est semblable à ses écrits. C'est ce que vous êtes en train de penser quand un ange pense. Vous l'entendez alors prononcer ces paroles interrogatives: "On y va ? ". Ce qui, selon le code convenu, revient à demander si vous acceptez la fessée ou non. Votre gorge se serre subitement: Pourtant vous ne pouvez répondre autre chose que "Oui".

Vous voilà dans l'ascenseur direction son appartement. Il caresse doucement votre derrière en murmurant:

• J'ai très envie de vous fesser.

Vous êtes bien trop confuse pour répondre quoi que ce soit. Vous ne pouvez que laisser votre tête choir sur son épaule.

L'ascenseur s'arrête. Vous entrez dans l'appartement. Vous remarquez le grand canapé qui semble tout spécialement prévu pour ce qui vous attend.

Sans vraiment comprendre ce qui vous arrive, vous voilà retournée comme une crêpe sur ses genoux. Vous aimez la position, vous l'adorez même. Soudain toutes vos inhibitions disparaissent. Vous vous abandonnez complètement sur ses cuisses.

La reddition est d'autant plus délicieuse que ses belles mains s'activent sur votre croupe. Vous ne pouvez pas les voir, mais vous les imaginez et vous les sentez surtout: elles palpent les moindres replis votre chair qui commence à s'échauffer sérieusement.

Imperceptiblement, les caresses se sont muées en claques; et c'est bien une fessée que vous êtes en train de recevoir en ce moment. Force est de constater que cela vous excite follement. La fièvre s'empare de votre corps. Aussi quand vous le sentez retrousser votre jupe, vous remuez les hanches, tant vous avez hâte de sentir ses paumes sur votre chair frémissante. Votre trouble augmente au fur et à mesure que votre intimité est découverte.

Enfin ses mains s'attardent sur votre peau nue ou plus que protégée que par la fine dentelle. Vous vous cambrez, vous attendez la fessée, vous l'espérez.

Elle arrive. D'abord douce, puis de plus en plus intense. Votre croupe est en incandescence. Vous en voulez plus. Il s'arrête. Vous croyez qu'il va repartir de plus belle, vous le craignez et le désirez en même temps.

Au dernier moment, il arrête son geste. Au lieu de la claque monumentale que vous redoutiez, il prend doucement votre culotte et la descend doucement, avec une lenteur extrême, vous plongeant au comble de la confusion.

La culotte baissée à mi-cuisses, vous vous arquez pour sentir la douceur de sa paume passer sur la peau nue de vos fesses. La chaleur monte, le désir s’accroît. Les claques arrivent et commencent de pleuvoir sur votre derrière.

L'excitation augmente, cette fois accompagnée de douleur, supportable pour l'instant. Vous serrez les dents. La peine augmente. Le feu est intense. Vous tentez un geste pur l'arrêter. Il prend immédiatement votre poignet.

La fessée s'est arrêtée à votre soulagement. Vous appréciez d'être ainsi maintenue. D'autant plus qu'il caresse doucement vos fesses endolories, rendant cette douceur encore plus voluptueuse.

Il vous lâche complètement. Vous vous cambrez, vous voulez ses mains sur votre croupe. Elles arrivent. Vous vous arquez encore plus pour les accueillir. Les caresses se transforment vite en tapes. Vous serrez à nouveau les mâchoires. Mais la fessée est maintenant douce et agréable, très agréable même.

Des ondes se répandent dans tout votre bassin, jusqu'au tréfonds de votre sexe qui commence à ruisseler. Soudain la fessée s'arrête, à votre regret.

Vous tendez les fesses pour implorer son retour, tout en craignant qu'elle ne reparte plus forte que jamais. Mais ses mains ne reviennent pas sur vos fesses. À la place, vous les sentez saisir votre string et le baisser encore plus lentement que la culotte.

Sentir votre intimité enfin être mise complètement à nu vous plonge dans la plus totale des confusions.

Cette fois vos dents se joignent non pas pour résister à la douleur, mais au contraire pour accueillir le plaisir, tout le plaisir, surtout quand vous sentez l'étoffe se détacher de votre chatte, et un souffle d'air frais venir tempérer la moiteur de votre fente détrempée. Finalement, le string rejoint la culotte à mi-cuisses.

Vous ressentez pleinement l'indécence de la situation: votre intimité, et seule votre intimité, est totalement mise à nu et exposée à un homme, un quasi inconnu, sur lequel vous êtes courbée et affalée, impuissante et désarmée, en état d'abandon total.

Vous savourez la confusion totale dans laquelle vous êtes plongée. Quand vous l'entendez déclarer:

• Dis donc, ça t'excite la fessée!

Joignant le geste à la parole, il vient plonger ses longs doigts fins dans votre fente. Ce contact sensuel provoque d'autres jets que vous ne pouvez retenir.

• Complètement trempée! Ça t'excites vraiment la fessée!... Allez, dis-le que ça t'excites!

Vous ne pouvez répondre autre chose que:

• Oui !
• C'est bien! Je vais pouvoir m'en donner à cœur joie à présent!

Sa main quitte votre entrejambe. Vous soupçonnez qu'elle remonte très haut, et ce que vous redoutiez arrive: une terrible claque s'abat sur vos fesses. La violence de l'impact vous laisse paralysée.

Le coup a été rude, mais les ondes de chocs... agréables! D'autant plus qu'il laisse sa paume reposer sur votre croupe. Vous ondulez le bassin, avide autant de caresses que de tapes. Mais il reste immobile. Quand sa main quitte enfin vos fesses, c'est pour vous replacer en position.

Vous vous courbez complètement, résolue à cette fessée "à cœur joie" qu'il vous a promise. A votre surprise, vous sentez une main, sa gauche probablement, se glisser sous votre bassin. A son tour, elle plonge dans votre caverne dégoulinante. Son bras fait levier pour redresser votre croupe. Vous accompagnez le mouvement, ivre de désir.

L'inévitable arrive, une première claque retentit sur vos fesses. Rythme et intensité vont en augmentant. Vous savez que le crescendo est inexorable. Mais vous n'opposez aucune résistance. Vous en seriez totalement incapable de toutes façons.

La tempête continue de s'abattre sur vos fesses.

Vous ne savez plus ce qui douleur ou volupté: la confusion de vos sens est à son paroxysme. Vos fesses sont en incandescence, mais vous ne pouvez faire autre chose que de l'encourager à vous fesser de plus en plus fort, sentant l'onde de plaisir arriver.

Elle éclate soudain comme un éclair, électrifiant tout votre corps, vous faussant hurler et vous torde dans tous les sens. Les vagues de volupté qui l'accompagnent se répandent dans tout votre corps et tout votre être. Elles vous terrassent et vous font plonger dans un abandon total, infini.

Et vous restez ainsi inerte. Votre intimité toujours aussi indécemment exposée. Une de ses mains plantée dans votre fente, l'autre délicatement posée sur vos fesses.

Vous aimez ce contact. Vous ondulez légèrement le bassin pour mieux sentir sa paume: que c'est bon! Vos fesses se redressent d'elles-mêmes, avide de ce contact sensuel.

Vous sentez alors sa main se mettre en mouvement. Il commence à cajoler doucement votre derrière. Vous vous cambrez pour accueillir ses caresses qui s'intensifient.

Vous vous arquez encore plus, appelant une nouvelle fessée.

Oui, vous n'avez qu'une seule envie: que ce déluge de sens recommence...

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